Dernière cotation
Nombre porcs présentés : 3050
Vendus au classement de 1,490 € à 1,500 €
Moyenne mobile (12 mois) : 1,714 €
Nombre coches vendues : 0
Fourchette de : 0 € à 0 €
Moyenne : 0 € (0 € )
Ce lundi 1er décembre 2025, le Marché du Porc Français observe un prix moyen de 1,493 €. Les positions des acheteurs n’ont pas évolué : certains se placent à 1,490 €, d’autres reconduisent le prix précédent, tandis que quelques enchères demeurent à la barre symbolique des 1,500 €. Le résultat est donc identique à celui de jeudi dernier, avec un prix moyen en léger recul de 0,1 centime.
Sur la zone UNIPORC, les volumes d’abattage étaient en retrait la semaine dernière, avec un peu plus de 366 000 porcs. Les poids reculent également, de 230 g, ce qui permet d’estimer que le marché français reste globalement équilibré.
En Europe, malgré quelques ajustements dans les pays du Nord, la reconduction du prix directeur en Allemagne a ramené une certaine stabilité. L’Espagne poursuit sa baisse, tout en en réduisant l’amplitude. Par ailleurs, l’officialisation de cas de FPA sur des sangliers par les autorités sanitaires espagnoles pourrait perturber les exportations du premier producteur européen. En conséquence, le marché européen de la viande pourrait très rapidement être de nouveau mis sous pression.
01 Décembre 2025
Ce lundi 1er décembre 2025, le Marché du Porc Français observe un prix moyen de 1,493 €. Les positions des acheteurs n’ont pas évolué : certains se placent à 1,490 €, d’autres reconduisent le prix précédent, tandis que quelques enchères demeurent à la barre symbolique des 1,500 €. Le résultat est donc identique à celui de jeudi dernier, avec un prix moyen en léger recul de 0,1 centime. Sur la zone UNIPORC, les volumes d’abattage étaient en retrait la semaine dernière, avec un peu plus de 366 000 porcs. Les poids reculent également, de 230 g, ce qui permet d’estimer que le marché français reste globalement équilibré. En Europe, malgré quelques ajustements dans les pays du Nord, la reconduction du prix directeur en Allemagne a ramené une certaine stabilité. L’Espagne poursuit sa baisse, tout en en réduisant l’amplitude. Par ailleurs, l’officialisation de cas de FPA sur des sangliers par les autorités sanitaires espagnoles pourrait perturber les exportations du premier producteur européen. En conséquence, le marché européen de la viande pourrait très rapidement être de nouveau mis sous pression.